Histomag 44 n°65

Et bien je reprends les termes de notre ami Stéphane en disant :

Citation :

Arrêtons de tirer "sur le pianiste" en l'occurence Dominique Lormier, il s'est planté, point barre, ça peut arriver à tout le monde.

Mais a contrario de Stéphane Ferrard , je ne suis pas aussi , comment dire , modéré, vis a vis de pairs , car je n'en suis pas .
Car se planter est une chose, monter une argumentation sur une erreur en est tout autre , et c'etait bien le cas .
Ceci dit , personne n'est infaillible en ce bas monde , mais il est clair que je ne conseillerai plus les ouvrages de Dominique Lormier a l'avenir , vu l'erreur commise , ne lui en déplaise .
Alors certes , je n'ai aucun impact sur le lecteur lambda , lectorat visé , mais je rejoins mieux maintenant certaines personnes , sur ce forum , qui avaient critiqué l'ouvrage "comme des lions" , que j'avais tenté de défendre a l'époque .

Quand a faire un droit de réponse , je pense qu'il est déjà effectué , il s'est vautré , n'y revenons pas . Qu'il nous explique d'ou venaient ses chiffres, point barre .

Pour le dernier tableau donné par Stéphane , nous voyons bien que la limite de cuirasse Française des chars equipés de SA18 , correspond en tout point en terme de distance, en dehors du fait que les chars d'accompagnement d'infanterie Français avaient peu d'obus perforant . A 300m , tout se perce, c'est bien , mais on est pas en normandie a tirer au détour d'un bosquet ou d'une haie .

Enfin, pour terminer , Mr Laurent , je vous saurai gré de me vouvoyer a l'avenir .

Alain