...et Sous-Off en 40 (J.C. d'Ahetze)

bonjour

dans quelle unité était l'auteur de ce livre écrit en 1942 (250 pages Edition des Douze, Nice)?

l'ouverture de ce fil ne garantit pas pour autant que sa lecture soit digne d'intérêt au regard des critiques récoltées jusque là...

https://docplayer.fr/113343086-Le-crack-n-21-titre-reference-ancestramil-divers-auteur-origine-don-de-marie-france-perennez.html

Et voici le genre fumiste avec Jean d’AHETZE, marchand de frivolités de son état et romancier à ses heures. Son «Ours» intitulé «et sous-off’ en 40....», Est tout imprégné de la manière « célinienne » dont il n’a retenu que le ton graveleux. D’ailleurs, le titre est un abus de confiance, car le chemisier nous parle fort peu de la guerre elle-même, pour s’étendre complaisamment sur sa vie aux relents nauséeux, ses déboires conjugaux, etc.... jusqu’à la faillite de sa boutique qu’il espère, peut-être, renflouer avec ses droits d’auteur. 
La littérature au secours du calicot : touchante allégorie


Le Crack 
Revue mensuelle du Stalag 369

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Les mémoires d'un chemisier bien parisien, écrits à la manière de Céline. J.-C. d'Ahetze met un curieux point d'honneur à parler des « pognes » quand il veut dire les mains et n'appelle jamais ses chemises autrement que « limaces ».
Visiblement Céline lui a tourné la tête et c'est dommage car s'il raconte un peu longuement ses déboires conjugaux, son livre ne manque pas d'une certaine verve de « titi » parisien qui le rendrait assez attrayant si ce n'était cet effroyable abus de l'argot qui, pour le commun des lecteurs, nécessiterait un lexique complet.

Le Journal, 9 décembre 1941

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Souvenirs non-conformistes d'un disciple de Céline, souvent mutilés par la censure, et contenant un vibrant hommage au Maréchal : 
« Pétain au printemps 16 a sauvé Verdun...An 40 la France retrouve son même sauveur. Dieu soit béni. »

Guidargus du livre politique pendant l'Occupation 1940-1944
Charles Antoine Cardot