PEI N°1 (Parc d'Essence et Ingrédients d'Armée)

PEIA N°1 (Parc d'Essence et d'Ingrédients d'Armée)

Bonjour,

Voici le détail des archives existantes au CAPM de Pau concernant ce Parc d'Essence et d'Ingrédients d'Armée :



Comme vous pouvez le constater presque toutes les archives ont brulées avec les dépôts...

Bonjour Philippe,

Merci beaucoup pour cette "rafale" de documents relatifs aux PEIA. J'ignorai que le CAPM de Pau a des documents relatifs à ces unités.

Ces documents me permettent de répondre à quelques questions que je me posais.

Bien cordialement,

Nicolas

Bonjour Nicolas,

Je me doutais que vous seriez intéressé par ces données... J'ai encore le PEIRG à mettre mais je le ferai un peu plus tard...

Vous pouvez si vous le désirez demander au CAPM d'avoir des copies numériques des pages qui vous intéressent dans un CCC, par exemple :
- La page des localisation de la Compagnie
    Malheureusement parfois ce n'est pas bien indiqué (voir pas du tout) mais d'autres fois c'est très détaillé
- une double page par mois indique les effectifs au jour le jour
- La page indiquant les Officiers
- les 2 ou 3 pages indiquant les Sous-officiers
- Pour la troupe cela commence à faire entre 10 et 20 pages
- parfois les véhicules sont indiqués
- Vous pouvez aussi savoir les vivres qu'ils ont utilisés jour par jour en double page mensuelle
- La matériel de l'habillement aux casseroles en passant par l'armement est aussi indiqué...
Vous avez des exemples dans certaines compagnies du Train dont j'ai été l'initiateur du fil de discussion...

Au CAPM il y a quelques trésors pas toujours facile à avoir... C'est presque plus facile par courriel qu'en se déplaçant !!!!

Bien content que vous ayez trouvé des réponses à certaines de vos questions...

J'oubliai CCC veut dire Cahier de Comptabilité de Campagne.

Merci Philippe pour l'ensemble de vos informations. Je vais contacter le CAPM afin d'en savoir un peu plus sur ce sujet.

J'attends avec impatience vos mises en ligne relatives aux PEIRG.

C'est une mine d'informations dont je ne soupçonnais pas l'existence.

Bien cordialement,

Nicolas