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 129e RI mai 1940

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berny
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MessageSujet: 129e RI mai 1940   129e RI mai 1940 EmptyVen 19 Fév 2010 - 12:03

Bonjour à tous
Je suis à la recherche de quelques données sur le parcours du
129e RI (5e DIM) du 10 mai 1940 au 20 mai 1940. Ce régiment a participé aux combats de Haut le Wastia (Belgique) et a séjourné une journée à Nalinnes le 16 mai 1940. Quelqu'un pourrait-il m'aider? Merci d'avance d'une réponse.
Jean-Marie
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sergeH
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MessageSujet: Re: 129e RI mai 1940   129e RI mai 1940 EmptyLun 19 Avr 2010 - 22:34

Bonsoir
En tant que membre du conseil d'administration du musée de haut le Wastia, je ne saurais trop vous conseiller la lecture de l'excellent ouvrage de son président Dominique Halloin intitulé "Haut le Wastia dans la tourmente". Ce livre est basé sur les témoignages de nombreux soldats du 129 RI. N'hésitez pas à faire une visite au site ou au musée. http://www.museedusouvenirmai40.be/. Il semble en effet que les combats terminés, les restes des rgts aient retraités vers la France via Charleroi (et Nalinnes).
En interrogeant un témoin belge encore en vie, il m'a confié une lettre du soldat Thomas du 39 RI (129 et 39 sont de la 5 DIM) arrivé à Ermeton sur Biert (à qques km de HLW) dès le 10 mai vers 14h00. Le témoignage de ce soldat devenu colonel fut capital pour la compréhension des événements et constitue la charpente générale du livre et du musée. Il a aujourd'hui plus de 90 ans et pourrait se trouver à HLW pour les commémortaion du 70ème anniversaire les 13/14/15 mai 2010.
En espérant vous avoir aidé 129e RI mai 1940 Icon_lol

sergeH
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avz94
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avz94


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MessageSujet: Re: 129e RI mai 1940   129e RI mai 1940 EmptyDim 22 Jan 2012 - 18:45

Bonsoir
voici quelques renseignements sur le parcours de la 5ème DIM et le 129ème RI pour la période du 10 au 17 mai


Mise en place de la Division :

L'ordre d'alerte est reçu le 10 mai vers 6h30. Le mouvement débute dans l'après-midi; il s'effectue en deux colonnes, nord et sud, chacune fractionnée en avant-garde et gros. La zone d'aboutissement est celle de : Saint-Gérard-Lesves-Denée. Transport fait par automobiles.

Les têtes des avant-gardes arrivent sur les chantiers de débarquement vers minuit trente, le débarquements s’effectuent dans la nuit. Les reconnaissances sont immédiatement poussées en avant, la mise en place progressive du dispositif sur la Meuse étant conduite de façon à assurer en première urgence la défense des ponts. Les gros suivent et débarquent dans la journée du 11. L’ensemble de la division est en place sur la Meuse à la tombée de la nuit.

Au matin du 12, le dispositif de la 5ème DIM est constitué comme suit :

Sous-secteur nord : 8ème Régiment d’Infanterie, de Dave exclu à Hun inclus avec trois bataillons en premier échelon (du nord au sud, III/8, II/8, I/8 ). Artillerie : un groupement d’appui direct de deux groupes, le I/11 et le VI/211.

Sous-secteur sud : 129ème Régiment d’Infanterie, de Hun exclu à Anhée inclus. I/129 et III/129 en premier échelon, le II/129 en réserve de division à Biout. Artillerie : un groupement d’appui direct de deux groupes, le III/11 et le V/211 (le II/11 est à la disposition de la 18ème DI.

Le 39ème Régiment d’Infanterie, initialement en réserve d’armée, reçoit l’ordre de mettre le II/39 à la disposition de la 18ème DI au sud d’Anhée.

Dans la soirée, l’artillerie de la 4ème Division Légère de Cavalerie est mise à la disposition de la 5ème DIM ; elle est encore renforcée par le 361ème Régiment d’Artillerie Lourde, qui arrive le lendemain 13.

Le 12, vers 14h00, le Général BOUCHER a reconnu la ligne de résistance, et a ramené le tiers des mitrailleuse au bas des pentes pour mieux battre la rivière. Dans l’après-midi, à Falaen, il a pris contact avec le Général commandant la 18ème DI et amélioré, à leur jonction, la liaison des deux divisions.

A la fin de la matinée du 12, les avant-poste placés sur la rive est se sont repliés. A partir de midi, la 4ème Division Légère de Cavalerie passe progressivement sur la rive ouest. En fin d’après midi, les ponts sautent. Le pont d’Yvoir est détruit à 16h30, alors que les engins cuirassés allemands s’apprêtaient à le passer ; le colonel TASCHET des COMBES du 129ème RI, qui était à ce moment sur la rive est, disparaît au moment de l’explosion. Dans la soirée du 12, vers 19h00, l’artillerie intervient contre des colonnes à Lustin, Evrehailles.
Le 1er Groupe de Reconnaissance Divisionnaire de la 5ème DIM, s’est placé à Cottaprez en réserve de la division (ouest de Saint-Gérard).

Dés le 12 au soir, le colonel commandant le 8ème Régiment d’Infanterie rend compte qu’il a vainement cherché, en s’étendant jusqu’à Fooz, à établir sa liaison avec les forces Belges de Namur. Le Général BOUFFET, commandant le 2ème Corps d’Armée, prolonge la gauche du 8ème Régiment d’Infanterie avec le 1er Groupe de Reconnaissance de Corps d’Armée, jusqu’à Wépion.

Le 12, en fin de journée, la 5ème Division a donc, en place sur la Meuse, cinq bataillons sur neuf. Un bataillon a été prêté à la 18ème Division, trois sont en réserve. Les mouvement se sont effectués de manière satisfaisante malgré l’encombrement des itinéraires, et quelques interventions de l’aviation ennemie dont les conséquences n’ont pas été graves.

La bataille sur Meuse :

La bataille s’ouvre par un prologue brutal : dans la deuxième partie de la nuit du 12 au 13 mai, l’ennemi franchit la Meuse à l’ile de Houx. Utilisant le terrain de l’île, s’aidant de l’écluse n°5, des élémnets gagnent la rive gauche et presque sans coup férir s’infiltrent dans les bois nord de Grange.
A 8h00, arrivent le renseignement que l ‘ennemi a débordé par le sud le village d’Anhée, et s’est emparé, à l’ouest d’Anhée, du piton 190 et, au sud, du château de Senenne, où le commandant du III/129 s’est replié, tandis que les éléments de son bataillon continuent à combattre.

Peu après, vers 8h30, le Général BOUFFEt, qui commande le 2ème Corps, donne au Général commandant la 5ème division le commandement du secteur allant de Houx à Hontoir, en plaçant sous ses ordres le I/129, le III/129, et le 1er Groupe de Reconnaissance Divisionnaire et en mettant à sa disposition le II/129 en réserve à Bioul. Ordre est donné à ce dernier de se porter à Haut-le-Wastia, et au 1er Groupe de Reconnaissance Divisionnaire de reprendre la cote 190. Celui-ci enraye l’avance allemande vers Haut-le-Wastia, mais son action ne peut obtenir d’autre résultat, car le II/129 pris à parti, dès Bioul, par l’aviation allemande et constamment harcelé mettra neuf heures pour atteindre Haut-le-Wastia.

Le 14 au matin arrive un ordre de repli, émanant de l’état-major du 2ème CA ; la 5ème DIM doit border la lisière est de Tamines. Ce mouvement est terminé vers 10h00 sous un bombardement incessant de l’aviation ; et l’ennemi a suivi le repli. Par Hun, il menace la droite du 8ème RI et prend pied peu après dans le bois de Salzinne, pour déborder ensuite les éléments du 129ème RI qui tiennent le bois de Warnant.. A midi, ses pointes parviennent à la lisière ouest du bois de Warnant, obligeant les batterie à se replier. Bioul est organisé en point d’appui et se relie au bois de Ronquière et de Salet

Dans l’après-midi , le PC de la division est reporté du château de Neffe (au nord-ouest de Bioul) sur Maison puis sur Fosses, où il se trouve vers 19h00.
Dès ce jour, conformément aux ordres du 2ème CA, la 5ème DIM est ainsi articulée :
- un groupement nord aux ordres du Génaral BOUCHER et comprenant les restes du 8ème RI, un groupe de 75 du 11ème RA, un groupe de 155 du 211ème RA, le 1er GRCA ;

- un groupement sud aux ordres du Général BARBE et comprenant les restes du 129ème RI, un groupe du 11ème RA, un groupe du 211ème RA, le 1er GRDI, des éléments de la 4ème DLC.

Ainsi, en fin de journée du 14, la 5ème DIM, moins pressée sur sa gauche, peut encore toucher la Meuse. Partout ailleurs, le passage de l’obstacle, que le fleuve constituait, est libre.

Le 15 à 2h00 du matin, le Général BOUCHER, commandant le groupement nord, et le Général Dunoyer, placé sous les ordres du Général BARDE, commandant le groupement sud, sont convoqués à Devant-les-Bois, PC du 2ème CA.
Ils reçoivent un ordre de repli portant :
- le groupement nord sue la ligne Wépion-Lesves-Saint-Gérard ;
- le groupement sud sur la ligne Saint-Gérard-Graux-Mettet.

Cet ordre est exécuté sans encombre au lever du jour par le groupement nord qui, tout au long du 15 mai, ne subira qu’une pression peu énergique. Son front est constitué au nord par le 1er GRCA qui se raccroche à Wépion, au centre par le III/8, replié sur la ligne fort Héribert-bois-de-Villiers-Lesves, au sud par le II/8, avec quelques éléments du I/8 dans la région de Sart-Saint-Laurent. Le 15 au soir, le groupement nord tient toujours cette ligne.
Au groupement sud, la ligne Saint-Gérard-Graux-Mettet est occupée le 15 à 6h00. Dans la matinée, l’ennemi presse le régiment de dragons de la 4ème brigade de Cavalerie (4ème DLC) à Saint-Gérard, dont il finit par s’emparer dans l’après-midi
Plus au sud, le 1er GRDI forme un crochet défensif le long de la route Bioul-Oret. Dans le bois de Ronquière, le II/129 résiste encore.
En fin de journée, le général commandant le 2ème CA donne l’ordre de tenir pour le 16 au matin la ligne :
- Sambre-bois de Ham-Fosses-Mettet pour le groupement nord
- Mettet-Orel pour le groupement sud.

Le 16 mai avant le lever du jour, le dispositif défensif est en place sur la ligne Sambre-forêt de Ham-Fosses-Mettet. Vers 06h00, le général commandant la division reçoit l’ordre 6/P du commandant du 2ème CA prescrivant un nouveau mouvement. En raison du repli de la 1ère Armée, plus ample qu’il n’était prévu, ordre est donné de refouler les éléments lourds vers l’ouest. Les troupes en ligne doivent rester sur place jusqu’à midi. La ligne Oret-Biesme doit être barrée, ainsi que la vallée au sud du Châtelet. A aprtir de midi, les troupes effectueront un retrait qui les portera :
- le groupement sud dans la région Gerpinnes-Tarciennes ;
- le groupement nord, dans la région de Bouffioulx.
L’artillerie, la cavalerie et les chars doivent protéger le repli.

A 7h00, l'ennemi a pénétré dans Fosses, rejetant notre infanterie vers Vitrival. Vers 08h00, une contre-attaque de chars du groupement de liaison de la 1ère Armée, suivis d'éléments d'infanterie, réoccupe Fosses.
En fin de matinée s'effectue le repli prescrit par le 2ème CA (c'est là que prend place la défense du Bois-l'Abbé près de Saint-Gérard par l'escadron du Capitaine de SAINT-SERUIN du 8ème Dragons, et la mort héroïque de cet officier).

Le PC de la 5ème division se transporte à Couillet (sud de Charleroi). Il y reçoit la visite d'un officier belge vers 13h00; il vient du fort de Saint-Héribert, certifie que les forts de Namur tiennent toujours, et demande de l'infanterie pour tenir les intervalles. Il est mis au courant de la situation.
A partir de ce moment, c'est la retraite pour rejoindre et dépasser la position fortifiée de Maubeuge qui est tenue par la 101ème division.
toujours vers 13h00, Le Général BOUFFET, qui est venu voir le Général BOUCHER, lui précise qu'il à reçu deux ordres successifs :

- Dans l'après midi du 15 mai, un officier de l'état-major de la 9ème Armée a transmis verbalement l'ordre de tenir sur la ligne Sambre-Fosses-Mettet jusqu'au 16 à midi. Le Général GIRAUD compte sur le succés de cette manoeuvre.

- Le 15 à 22h30, est arrivé au PC du 2ème CA à Sart-Eustache (10km, à l'ouest de Fosses), un ordre écrit de la 9ème Armée prescrivant le repli du 2ème CA dans la journée (ou la matinée) du 16 sur la région d'Avesnes, où il doit être placé en réserve d'armée.
L'officier de l'état-major du 2ème CA qui a reçu cet ordre, n'a pu le montrer au Général BOUFFET qu'en fin de matinée.

Jusqu'ici, et surtout pour ne pas découvrir le 5ème CA, c'est-à-dire la droite de la 1ère Armée, c'est le premier ordre qui a été exécuté.
Mais, dans l'après-midi du 16, le Général BOUFFET donne verbalement des ordres au Général BOUCHER pour le repli à effectuer dans la nuit du 16 au 17 sur Avesnes. Il annonce une confirmation, qui sera écrite dès son retour au PC de Bultia.
Cet ordre écrit ne parviendra jamais, car le PC de Bultia sera anéanti par un violent bombardement aérien (Général BOUFFET tué avec la plupart de ses officiers).
Cependant, en exécution des ordres verbaux du Général BOUFFET, le Général BOUCHER donne le 16 mai, à 17h00, l'ordre de repli sur Avesnes.
Le 16 à 21h00, la situation de la 5ème division s'établit ainsi :

- Une partie des troupes s'est trouvée mise à la disposition du 11ème CA.

- Il reste : le 1er Groupe de Reconnaissance; le 8ème Régiment d'Infanterie (le Colonel et deux chefs de bataillon ont été tués); le bataillon II/8 a recueilli les restes du I/8, le III/8 a peu de pertes; le 129ème Régiment d'Infanterie (le Colonel a été tué); deux bataillons sont réunis en un seul, le troisième est en meilleur état.
L'artillerie a conservé une partie importante de son matériel.
Le décrochage s'effectue le 16, à 21h30, sans difficulté pour l'infanterie et les formations d'artillerie. Mais la cavalerie, quand elle part le 17 vers 2h00, est plus ou moins mélangée aux colonnes allemandes. L'itinéraire principalement utilisé paraît avoir été la route au sud de la Sambre : Thuin-Biercée-La Buissière. Le passage par la Buissière devait, en effet, rester le plus longtemps intact.
Au delà de la Sambre, une grande confusion règne sur les itinéraires :

"A la nuit, raconte un officier du 129ème, nous recevons l'ordre d'aller franchir la Sambre à Thuin. Il faut faire vite et arriver avant que les ponts ne soient détruits. Les hommes sont harassés, quelques chars qui les dépassent les transportent de l'autre côté de la rivière.
Derrière la Sambre, nous apprenons que le régiment se regroupe à Avesnes et par la rive nord de la Sambre, nous machons vers cette ville au milieu d'une cohue invraisemblable.
Aidés par les chars, nous atteignons Maubeuge. Jusqu'à cette ville nous n'avons rencontré aucune unité française, même pour nous recueillir à hauteur des fortifications qui sont inoccupées (les fortifications étaient occupées, mais cet officier ne l'a pas vu) ou inoccupables, soit qu'elle soient fermées ou n'offrent aucun ravitaillement en munition ou en vivres. A l'entrée d'Avesnes, nous sommes arrêtés net. Bloqués vers le sud, nous remontons vers Valenciennes."

de ce désordre, la 5ème division sortira volatilisée. L'état-major lui-même est quelque peu dispersé. Le Général BOUCHER, qui essaye de redescendre sur Landrecies par Maubeuge et Saint-Rémy, est arrêté à Noyelles, car les engins blindés ennemis tiennent Maroilles. Dans l'impossibilité de rejoindre le sud, un fort mouvement s'effectue en direction de Bavai-Jenlain. Liaison est prise par le Général BOUCHER à Valenciennes avec la 1ère Armée. Il reçoit l'ordre de stopper ce qu'il a de troupes avec lui dans la région de Jenlain, de tenir la Sambre avec sa division, dePont-sur-Sambre à Marpent (est de Maubeuge) inclus.
Son PC est fixé à Riez-d'Erelle (nord de Feignies).
Des recherches effectuées pour réunir les éléments de la division, l'infanterie vers Jeumont, d'autres éléments vers Aulnoye, sont peu couronnées de succès.
Certains en effet ont été disloqués à Avesnes, d'autres comme le I/39, se retrouveront à Guise. Le 18, certains éléments d'état-major rejoindront le poste de commandement, entre autres le Colonel chef d'état-major qui, dans son itinéraire, va rencontrer le Général commandant la 9ème division, privé de son état-major qui a été fait prisonnier; il se mettra à sa disposition pendant toute la journée du 17.
Ainsi les quelques éléments de la 5ème division qui ont pu être regroupés, passeront, le 17, sous les ordres de la 1ère Armée. Il n'y a plus ni contact avec la 9ème Armée, ni mission rempli pour elle. Il n'y a plus de 2ème CA.

Cordialement
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