Quelle langue parlaient nos (grand-)parents ?

J'en profite pour noter ici deux nouvelles questions pour mémoire:

1. Qui avait droit à des ordonnances dans l'armée ?

2. L'armée tenait un livret militaire pour tous ceux qui passaient sous les drapeaux. Existait-il une appréciation résumant la conduite et les qualités humaines du soldat Machin, portée au dossier à la fin de son engagement ou de son service militaire ? A la différence d'un certificat de bonne conduite destiné à la vie civile (j'ai posé la question dans mon premier message), il s'agirait cette fois de quelque chose d'interne à l'armée. Mon propre livret militaire comporte les appréciations de mes trois commandants successifs, mais je ne me souviens plus de si ça avait un nom particulier.

Est-ce que certains ont des exemples de telles appréciations, si elles existent ?

Bonjour,
Voici un petit ouvrage de Pierre Laborie que je n'ai pas encore lu mais qui me paraît être dans le droit fil de notre sujet.

Citation :

Présentation de l'éditeur
Il serait extravagant de prétendre appréhender le deuxième conflit mondial en l'espace d'un petit volume. L'objectif de cet ouvrage est autre. Les mots de 39-45 ici retenus ont été choisis parce qu'ils étaient eux-mêmes une histoire : ainsi de
banalité du mal, maréchalisme, shoah ou zone grise. Il s'agit donc moins de parler des mots que de les faire parler, de les questionner à travers leurs emplois et leurs parcours. Dans tous les cas, on s'est efforcé de relier la démarche à une réflexion sur la fabrique de l'histoire, aux reconstructions de la mémoire et aux usages du passé. Les mots sont des armes, on sait qu'ils peuvent tuer. Mais la mort peut venir
aussi du déni ou de l'absence de mots.

Bonjour,

En me promenant j'ai trouvé ceci :

http://diables-bleus-du-30e.actifforum.com/le-dico-du-poilu-f176/

de Thierry Guyon

Bonsoir,
Un lien qui peut vous interesser:
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/glossaire/index.php?idLang=fr
Cdt

Bonsoir et merci Pierre,

J'avais pourtant souvent parcouru les chemins de mémoire, mais pas dans cette direction.
Mais Louis devait connaître.
Cordialement Gérard