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 Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24

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MessageSujet: Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24   Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24 EmptyDim 03 Oct 2021, 14:49

Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24 18_aoz10
  Guillaume Gautreau, Metz le 18 août 1923 au 61e RAC

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 Mon g-père effectua son service militaire à Metz-Montigny, 18 mois d'avril 1923 à octobre 1924 au 61ème RAC, 8ème batterie (Régiment d'Artillerie de Campagne)

Il évoque ici son cheval nommé Épatant qu'il réussit à amadouer alors que personne en voulait pour faire les exercices. La plupart des chevaux servaient à tirer les canons de 75 comme ceux de la guerre 14-18 :

- " Très dur pour faire du cheval dans les débuts, certains avaient des furoncles et rentraient la culotte pleine de sang, et il ne fallait pas qu'ils s'arrêtent trop longtemps car cela revenait.

- Au bout d'un mois il fallait savoir manoeuvrer six chevaux pour le canon 75 (avec 6 hommes) et six chevaux pour le caisson qui contenait les obus (avec 6 hommes). L'équipe comprenait aussi trois conducteurs, un brigadier et un maréchal des logis (sergent).

- Presque qu'à la fin de mes classes exercices, au cinquième mois, je m’étais lié avec un cheval nommé Épatant, pourtant au début très 'chatouilleux' et méchant. Il avait tué un soldat et blessé deux autres au pansage. Personne ne voulait plus l'approcher, surtout pour prendre les sabots à nettoyer. Les hommes et l'adjudant criaient un peu fort après lui. Je demande à l'adjudant pourquoi gardez-vous ce cheval ? Réponse, parce qu'il est très bon pour faire la manoeuvre et qu'il a une belle force. Alors Gautreau vous pourriez peut-être vous en occuper ? Je lui ai répondu que je lui donnerai une réponse dans quinze jours.

- Alors le soir doucement je passais dans l'emplacement du cheval, à côté, et lui causait, lui apportais des petits morceaux de pain et toujours une conversation avec lui. J'allais voir le garde de l'écurie pour lui dire de ne pas le brutaliser. Il lui faut de la douceur à ce cheval. Il me dit qu'on a tout essayé mais rien à faire il est lunatique. Des fois il faut lui apporter à boire au seau. Enfin je continuais à venir auprès de lui souvent en prenant des précautions, même le dimanche je passais un moment, toujours du pain, et un peu de sucre mais par petits bouts. J'essayais de passer tout près de lui, il était calme, je le caressais bien le long de la jambe avant pour lui prendre le pied, le jour suivant l'autre. Pour les pieds arrières il fallait un peu plus de temps. Du coup après quinze jours j'ai dit à l'adjudant que je voulais bien commencer demain mais à deux conditions : d’abord personne autour de moi quand je serai sur les abords où l'on fait le pansage aux chevaux, ensuite il me faut un coin où je serai seul avec lui pour le dressage.

- En trois semaines ce n'était plus la même bête, peureux qu'il était au début au bout d'un bon mois je lui prenais les sabots arrières ce que personne n'avait osé faire. Je l'avais pris au timon pour une manoeuvre, compétition entre les huit batteries de Remonte, c'est la nôtre la 8ème qui a gagné. cela consistait à aller le plus vite à se mettre sur un point désigné, les chevaux dételés puis le plus vite en position de repartir. Un meilleur repas pour les gagnants et la nomination de 1ère classe.

- Par la suite j'ai choisi celui qui devait me remplacer avec Épatant, tout en allant voir le cheval avec lui assez souvent, et lui dire de ne jamais le contrarier.

- Les classes étaient maintenant finies mais j'avais mal aux deux mollets. Le major-médecin ne me reconnaissait plus au bout de trois fois une semaine que j'allais le voir pour le mal qui me gagnait en profondeur, les corvées de quartier que me donnait le brigadier de semaine ne me faisaient pas guérir bien au contraire. Au bout de la quatrième fois son remplaçant me dit que « c’est à l'hôpital que je devrais aller, en attendant allez à l'infirmerie ». C'est un microbe des chevaux qui donne cela, qui fait comme un trou, je n'ai pas grand remède mais nous allons y arriver à maîtriser ce mal. Régime au lait pendant huit jours et tous les jours les jambes au soleil. Le mal étant au mollet en position couché je me tenais sur le ventre, ou assis sur une chaise le dos au soleil pour atteindre les mollets. Au bout de trois semaines c'était cicatrisé, juste un pansement pour éviter le frottement des housseaux, ce sont les guêtres de cuir …"

Il termina son SM en octobre 1924 au 403ème Régiment de Défense contre Aéronef dirigé par le commandant BANDIC chef d’escadron.

( Source : d’après son cahier de mémoires n°1 pages 27 à 29)


Les posts en lien :
https://atf40.1fr1.net/t17392-recherche-sur-le-403e-dca-de-mon-gp-en-1939-1940

https://atf40.1fr1.net/t17408-guillaume-gautreau-403e-dca-temoignage-juin-septembre-1940


Dernière édition par GAUTREAU le Lun 04 Oct 2021, 18:35, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24   Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24 EmptyDim 03 Oct 2021, 15:15

Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24 17_jui10

   Metz au 61e RAC, la photo du bas est du 17 juin 1923
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MessageSujet: Re: Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24   Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24 EmptyDim 03 Oct 2021, 18:37

Belle leçon de dressage. 
Merci pour le partage
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Claude Girod
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MessageSujet: Re: Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24   Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24 EmptyDim 03 Oct 2021, 19:16

Bonsoir à tous  !
Pour les mollets, s'agissait-il d'une teigne ?
Merci !
Bien cordialement !
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MessageSujet: Re: Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24   Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24 EmptyLun 04 Oct 2021, 08:18

Bonjour, 
Je n'ai pas plus d'info sur ce 'microbe' que nomme mon g-père mais en effet vous devez avoir raison je pense aussi qu'il doit s'agir de la teigne.
Merci, Bien à vous
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MessageSujet: Re: Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24   Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24 EmptyLun 11 Oct 2021, 18:00

Je reviens un peu en arrière :

   « J’ai passé mon conseil de révision à la mairie de Pantin (93) et demandé un an de sursis vu qu’en 1922 j’avais déjà un de mes frères aux armées. Il avait été incorporé au 121e train des équipages auto, en occupation à Bad Kreuznach en Allemagne  J’ai reçu ma feuille de départ le 30 avril 1923, soit douze jours avant pour aller à Metz au 61e Régiment d’Artillerie de Campagne, 8ème batterie. C’était pour 18 mois comme conducteur au timon avec les chevaux. Comme j’avais mon permis de conduire depuis juillet 1921 j’avais fait ma demande pour les autos, enfin tant pis c’était toujours pour conduire quelque chose ! 
   Le 13 mai 1923, jour de mon arrivée c’était la fête de Jeanne d’Arc. On avait eu un supplément de dessert et du pinard. Les anciens avaient défilé à cheval dans la ville de Metz, avec bien sûr les trompettes en tête du défilé. La plus grande garnison de France, 80.000 hommes (?) représentants toutes sortes de régiments, même algériens. L’année précédente toutes les troupes étaient parties en Allemagne car ce pays ne voulait pas payer les dégâts commis en France en 14-18. Mais elles sont revenues un mois ou deux après car les anglais et les américains mettaient opposition à cette occupation et il fallait décamper. Hélas cela a permis à l’Allemagne de mieux se préparer pour la seconde guerre mondiale. En 1920 les Russes avaient envahi la Pologne, les trains de soldats français partaient jour et nuit avec le matériel sous les ordres du général Weygand. Nous les avons fait repartir chez eux, pour la France la Pologne c’était sacré ! Les Russes nous ont vendu en 1917, notre alliance était rompue et l’argent qu’ils nous devaient ...
   J’en reviens à mon arrivée à Metz. On est resté en civil un jour ou deux. Pendant les classes qui duraient de 4 à 6 mois, pas de sorties en ville avant au moins quatre mois. Quand nous sortions en groupe c’était avec un maréchal des logis et pas en ville mais dans la campagne environnante. Nous les hommes n’avions pas besoin de saluer les officiers rencontrés, c’est le MDL qui se chargeait de cette corvée. Les casernes des environs avaient été construites après la guerre de 1870 par les allemands, champions les allemands par rapport aux casernes françaises. Les écuries d’une propreté impeccable, une bonne couche de sable au sol. A la place des toitures c’étaient des terrasses. Il y a avait des douches pour laver linge et costumes, des grands bacs en ciment où l’on pouvait laver vingt soldats à la fois, mais il était préférable de passer dans les premiers car en fin de journée la boue avait remplacé l’eau claire.
   C’était assez dur car il fallait mériter la fourragère rouge et la légion d’honneur acquises par notre régiment, les artilleurs ‘Diables noirs’ du 61e RAC, durant la guerre 14-18, régiment cité à l’Ordre de l’armée en 1921. Le matin lever l’été à 4h et demi et l’hiver à 5h et demi. Des revues en veux-tu en voilà. Les exercices débutaient en manège par le monter à cheval, sauter sur le cheval en courant au même pas que lui. Heureusement c’était un cheval bien doux qui ne faisait pas de ruades. Le matin au pansage, nettoyer les sabots, la brosse sur le poil avec les éponges sur les jambes, leur laver les yeux, les narines … et le derrière. Bien rincer à l’eau propre. Enfin mettre la selle, passer l’étrier. Les faire boire à l’abreuvoir. Nous avions trois chevaux à nous occuper chaque jour. Le soir les rentrer à l’écurie, le garde d’écurie avait refait la litière et mis la nourriture dans les mangeoires, le foin dans les râteliers. Aucun n’était exempt de pansage ou parfois de garde à l’écurie. Il y avait plus de 200 chevaux par écurie. Un travail de tous les jours. Les chevaux des officiers étaient dans des box à part, c’est l’ordonnance qui s’en occupait, ou l’adjudant quand il en avait reçu l’ordre par l’officier ou l’ordonnance. 
   Au bout d’un mois il fallait savoir manoeuvrer six chevaux pour le canon 75, comme canonniers, et six chevaux pour le caisson à obus, comme servants. Nous avions des houseaux aux jambes, ce sont des guêtres ou jambières en cuir tant pour les servants que pour les canonniers. C’est avec ces cuisseaux que j’avais attrapé un ‘mal de poussière’ des chevaux (teigne?), cela me rongeait, me faisait un trou à chaque mollet. »
(Cahiers de mémoires n°1 pages 24 à 28, n°10 pages 2 à 5)
- Ci-dessous photo prise durant les classes en juin 1923. Guillaume Gautreau dit Pierre est au deuxième rang, tout au milieu.
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MessageSujet: Re: Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24   Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24 EmptyMar 12 Oct 2021, 18:04

- Metz le 16 août 1923, 61 RAC, 8e batterie

- Ci-dessous, à gauche G. Gautreau, conducteur au timon, puis ordonnance du lieutenant Barbier commandant la 8e batterie. A droite son camarade Guillemin/Guillemain, qui était affecté dans les bureaux. Le dimanche il se faisait un peu d'argent de poche en allant jouer du piano dans le quartier des Ponts au bord de la Moselle. (Photos Lux, 6 rue de la petite-Boucherie, R. Cuchet à Metz)


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MessageSujet: Re: Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24   Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24 EmptyMer 13 Oct 2021, 12:35

- Manoeuvres de printemps au camp de Mailly (Aube) en mars/avril 1924. Photo-carte-postale du 61e RAC.
  Guillaume Gautreau est accroupi (sous la croix) devant un baraquement. Les gradés ne logeaient qu'à trois ou quatre dans leur chambre. En tant qu'ordonnance de trois lieutenants lors de ces manoeuvres mon g-père ne participait pas directement à celles-ci. Il se levait tôt le matin avant la sonnerie du clairon pour porter le petit déjeuner aux trois lieutenants. Puis il s'occupait de leurs chevaux, surtout le soir quand les montures rentraient pleines de boue et de poussière. 

- Il s'agit ici de ces derniers jours au 61e RAC avant son transfert au 403e DCA, toujours à Metz. Ceci pour suivre toujours comme ordonnance, et après un commun accord entre eux, le lieutenant BARBIER de la 8e batterie qui se voyait affecté à la 5e batterie de ce tout nouveau régiment créé en avril 1923 par restructuration de régiments d'artillerie.

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MessageSujet: Re: Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24   Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24 EmptyMer 13 Oct 2021, 17:35

- Photo-carte-postale fin mai 1924. Mon g-père (sous la croix) porte encore au col la marque du 61 RAC, pourtant au dos de la photo il indiquait être au 403e DCA. Cette période était en tout cas le temps de la transition entre ses deux régiments. Sa chambrée était constituée d'un panel hétéroclite avec un coiffeur, du personnel de service et d'autres ordonnances. Je ne pense pas qu'il s'agisse des hommes de cette photo car tous n'étaient pas forcement à 153 jours au jus.
 Le lieutenant Barbier qu'il allait suivre en tant qu'ordonnance au 403e l'installa ensuite chez lui en ville pour les cinq derniers mois de service militaire qu'il lui restait à faire.
Quand quinze ans plus tard mon g-père a rejoint le 403e en 1939 il appris que le lieutenant Barbier était devenu colonel d'une DCA. Je serai interressé d'en savoir davantage sur l'affectation de ce colonel Barbier en 1939 ...

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MessageSujet: Re: Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24   Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24 EmptyMer 13 Oct 2021, 18:48

Ah j'oubliais, le hasard a voulu que, 55 ans plus tard, comme mon g-père je fasse aussi une partie de mon service militaire comme conducteur au 403e RA, FTADA, alors basé à Chaumont-Semoutiers (dissous en 1999).
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MessageSujet: Re: Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24   Guillaume Gautreau, SM au 61e RAC, témoignage 1923-24 Empty

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