3e Compagnie du train

Bonjour
En étudiant le livret militaire d'un soldat initialement versé au 8e RI on y signale qu'il passe à la 3e Cie du train.
Ma question est de savoir si le 8e RI comporte en dehors des 12 Cie classiques et des 13 et 14, une compagnie du train ou
cette dernière fait elle partie d'une autre unité et dans ce cas laquelle?
Merci de votre attention.
sergeH

Bonjour Serge,

Non il n'y a pas de Cie du train  dans un régiment d'infanterie. Mais histoire d'embrouiller il y a le train régimentaire et le train de combat dans un régiment d'infanterie mais cela n'a rien à voir...

Il faudrait mieux mettre une copie de la page concernée du livret militaire afin que l'on puisse mieux comprendre... Cela évitera de jouer aux devinettes et perdre du temps.

Il existait une 3e Cie Régionale du Train N°3 situé en 3e région militaire c'est peut être de celle-ci qu'il s'agit...

Mais là encore sans date sans lieu c'est trop général... Une bonne photographie de document est bien mieux qu'une mauvaise recopie d'informations.

A vos ordres mon général
Voici le document en question. Mais votre réponse semble tenir la route. J'aimerais cependant en savoir un peu plus sur cette unité. Merci à vous. sergeH

Re-bonjour,
En effet c'est plus claire (quoique...)

Je pense que des plus férus que moi pourront répondre, mais en théorie la 3e Cie régionale du train n'existe plus le 02/09/1939... Ce soldat a été versé dans une autre unité du train fin août 1939... Sauf que celle-ci n'est pas indiquée...

Ce n'est pas le livret militaire que vous avez mais une fiche matricule ce n'est pas tout à fait pareil... Les renseignements sont souvent  complémentaires entre les deux documents. 

On peut savoir (peut-être) son unité durant la guerre en vérifiant s'il est sur les listes des prisonniers de guerre

Si non (car ils n'y sont pas tous, loin de là d'ailleurs...) en écrivant à Caen à la DAVCC pour demander une copie de sa  (ou de ses) fiche de prisonnier de guerre. En espérant que l'unité du train y sera bien mentionnée...

Bon courage.

Merci Philippe
Serge