Besoin de votre mobilisation (et de vos infos)

Bonjour,

Je vais tacher d’être bref, lors d’un déplacement pour recherches historiques j’ai pu m’apercevoir que la tombe d’un soldat Français présumé aviateur risque d’être prochainement déplacé sans avoir ce qui vas réellement advenir du corps de ce brave défunt ... a priori dans ce cimetière, un autre soldat Français vas subir le même sort ...

J’ai bien peur que si l’on ne puisse pas faire quelque chose pour eux, leur dépouilles soit mise on ne sait où ...

La tombe de celui que j’ai vu précise qu’il s’appellerai Rigaud ... sans rien d’autre de notifier sur son unité ...

D’après les infos de la mairie, il s’agirai de 2 membres de l’équipage d’un Potez 63 qui serai tombé en flammes le 13 Mai 1940 à Bouvignes-Crevecoeur (près de Dinant en Belgique))

J’ai trouvé ceci sur les groupes de reconnaissance en support sur la zone de la 9e Armée Corap

J’ai atteint le bout de mes sources de recherche




La question : un de nous est il en mesure d’en savoir davantage ?

Merci par avance

Je pense que présenter la question avec un titre plus évocateur dans la section aéronautique aurait plus de chances de trouver réponse.

Cordialement

Laurent

Bonjour

Serrait-il possible d'avoir un peu plus de renseignements sur cette histoire (même en mp), de quel cimetière s'agit-il?

En ce qui concerne les membres d'équipage du potez 63-11, il s'agit du capitaine PEIGNÉ- sous-lieutenant GESSIAUME- et comme pilote le sous-lieutenant Jean-François DE LA ROCQUE.

J'ai retrouvé pas mal d'objets personnels des membres d'équipage dont un insigne de pilote qui sont actuellement au musée de haut le wastia.

arnaud

Bonsoir,

le 13 mai 1940 le Potez 63 n°288 du G.A.O 511, touché par des balles ennemies lors de son passage à basse altitude, s'était écrasé en flammes à Bouvignes, près de Dinant. Mais des trois noms de l'équipage aucun ne correspond au nom de Rigaud.

Les tombes de l'équipage furent d'abord creusées dans le champ de Monsieur Milcamp près des débris de l'avion. Plus tard, le 14 février 1941 les corps furent transférés au petit cimetière militaire créé à flanc de côteau, dans ce pays doucement vallonné, au lieu dit BOIVEAU, près du four à chaux, où dormirent ainsi dix-neuf français tués.

Cordialement

Bonjour,

Oui, il s'agit du cimetiere de Bouvignes

zut, je ne peux donc pas retrouver donc ce soldat

j'ai jeté un coup d'oeil aux autre tombes mais je n'ai pas trouvé d'autres Français .... ?