Weygand l'intransigeant, de Max Schiavon

J'ai ma réponse.
Il s'agit effectivement de votre article.
Le compte-rendu in extenso est paru, donc disponible, depuis au moins 1955.

En fait, vous l'aviez même logiquement sous les yeux, puisque vous dites vous être servi pour votre article de Rappelé au service (1950) et que le  document y est déjà reproduit...

BRH a écrit:

Il est avéré que "Weygand" était le fruit des amours du général Van der Smissen et de l'impératrice Charlotte. C'était un nom d'emprunt, légalisé par entente entre le roi des Belges et le gouvernement français. 

Je ne souhaitais pas insister avant d'avoir relu quelques points...

Le terme "avéré" est parfaitement inapproprié. Concernant la paternité de Van der Smissen, Max Schiavon parle d'un très fort faisceau de présomption. Surtout, concernant l'identité de la mère, il laisse très clairement l'alternative : "Deux possibilités sont vraisemblables.". Le livre le plus fouillé et le plus récent sur le sujet des origines de Weygand, à ma connaissance, ne privilégie pas l'hypothèse de la maternité de l'impératrice Charlotte, au contraire.

La deuxième phrase mise en gras relève tout simplement de la fantaisie.

(C'est moi qui ai mis en gras)

Chers amis,
quelques belles images de l'Armée française avec le général Weygand et un numéro d'immatriculation 86385 du torpédo porte drapeau 
Bonne soirée

Bonjour Bertrand,

Il s'agit d'une VLTT Berliet VUDB 4. servant ici de voiture porte-étendard au 71e RADC.
Ce régiment d'artillerie " volante" appartient à la 1re DC dont on voit, au début du reportage, le commandant, le général Boucherie en grande tenue avec bicorne, être décoré par Weygand.
Cette cérémonie a eu lieu en janvier 1935 à Saint-Germain-en-Laye.

Excellent dimanche à tous

François